Quels sont les besoins pour lesquels les entreprises vous consultent le plus souvent ?

J-B.G : « Je suis consulté essentiellement sur les thématiques touchant au contentieux des affaires. J’accompagne également les start-ups et les projets innovants en droit de la propriété intellectuelle et des nouvelles technologies pour leur apporter les meilleures chances de succès : dématérialisation, mise en place du télétravail, création de plateformes d’économie collaborative… ».

Quel doit être selon vous le rôle de l’avocat aujourd’hui ?

J-B.G : « Faute de moyens, les PME/TPE n’ont pas de service juridique interne pour répondre à leurs besoins. En s’appuyant sur un avocat et en externalisant la fonction juridique, elles peuvent solliciter ponctuellement une expertise dans un domaine précis. Création de l’entreprise, levée de fonds, recrutement, impayé ou litige avec un concurrent sont des épreuves que l’entrepreneur doit franchir avec succès. Pour cela, il doit être bien accompagné ».

Comment convaincre alors une petite structure de faire appel à un avocat ?

J-B.G : « Les réponses automatisées et les modèles ne s’adapteront jamais au besoin de l’entrepreneur de disposer d’un conseil sur-mesure. Etre conseillé par un avocat, c’est avoir la possibilité de créer une relation de confiance sur la durée avec un partenaire qui connaît le marché de l’entreprise, ses opportunités et ses contraintes et qui l’aidera à faire aboutir son projet. C’est dans cet esprit que le cabinet propose par exemple un système d’abonnement à une « hotline juridique » à partir de 250 euros HT par mois « .