La traduction technique

La traduction technique : s’assurer de la maîtrise métier en plus de la maîtrise de la langue…

  • Pour une bonne traduction, il est déjà essentiel de s’assurer de la qualité rédactionnelle du document d’origine : si le texte comporte des erreurs de syntaxe, des fautes grammaticales ou d’orthographe, si le sens des phrases n’est pas clair, le document traduit ne sera pas de bonne qualité non plus. Vous pouvez en amont demander à l’agence de faire relire le document par un natif de la langue pour vous rassurer ou corriger le document.
  • Si votre document contient des éléments techniques, un verbatim lié à un domaine d’activité particulier, vous pouvez fournir à la société de traduction un lexique ; si vous n’en possédez pas, vous pouvez demander à l’agence de traduction d’en créer un sur-mesure qui servira dans toutes les traductions.
  • Ainsi, le traducteur doit posséder une expérience métier concrète car l’acceptabilité de la traduction dépend de son adéquation et de la confiance qu’il inspire à un ensemble d’utilisateurs. Il appartient au traducteur de s’assurer que le document est facile à s’approprier et à utiliser, notamment en le dotant d’une architecture apte à conforter sa crédibilité.
  • Pour donner des repères au traducteur, vous pouvez lui communiquer l’adresse de quelques concurrents dont les textes sont déjà traduits ; cela lui donnera quelques informations utiles sur le vocabulaire à employer.
  • Si le texte a été traduit dans votre langue maternelle, faites une relecture. S’il contient des fautes, c’est peut-être que le traducteur soit n’est pas natif de la langue dans laquelle il traduit, soit que le texte d’origine n’est pas de qualité…

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